Un coup de tonnerre dans le monde des jeux de hasard belges, des soupçons de corruption semblent entourer les hauts fonctionnaires de la CJH. En effet, c'est ce que rapporte le quotidien belge " Het Laatste Nieuws " ayant reçu un document compromettant sur l'organisme. Des révélations qui pourraient avoir de sérieuses conséquences sur le monde des jeux d'argent au sein du domaine royale. Découvrez les dessous de cette affaire ici.
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Le document reçu par l’organisme « Het Laatste Nieuws» semble démontrer la présence de pots de vins proposés pour les hauts fonctionnaires garants de cette commission. En effet, des grands noms des jeux d’argent et de paris en ligne auraient proposé des sommes d’argent ou plus communément appelées des : « cadeaux », au gérant de cette commission. 5 cas d'abus d'intégrité auraient été mis en cause par les autorités belges.
Au-delà de toute attente, c’est le directeur de l’institution : M. Peter Naessens, qui aurait été accusé d'accepter les demandes émises par les sociétés de paris belges.
Ces dernières s’appuyant sur des preuves officielles, telles que des courriels, des abus de fonds publics et de pouvoir. Au-delà de toute attente, c’est le directeur de l’institution : M. Peter Naessens, qui aurait été accusé d'accepter les demandes émises par les sociétés de paris belges. Un affaire qui restera donc à suivre dans les prochains jours…
Les offres de jeux ont longtemps été au centre des préoccupations au sein de la royauté. En effet, contrairement à ses voisins européens, la Belgique refuse catégoriquement l'intégration d'offres de jeux au sein des jeux de casino et d’argent en ligne. Un refus souligné par un manque de transparence de ces promotions. Les autorités belges mettent également en avant l’addiction réelle qu’aurait tendance à façonner les jeux d’argent en ligne.
Un sujet qui a longtemps été une source de conflit entre les sociétés et les organismes légaux. Un sujet qui aurait donc pu être la cause des déboires qu’a connu la CJH. Toutefois, ces suppositions sont à prendre avec des pincettes car le motif légitime de ces " cadeaux " n'a toujours pas été invoqué par les pouvoirs publics.